En ce jour particulier pour tous les amoureux, partez à la rencontre du ce couple de handballeurs luxembourgeois.
Il ne se passe pas un jour sans que l’on fasse quelque chose en lien avec le hand
1. Pouvez-vous vous présenter chacun votre tour ?
Joy : Je m’appelle Joy Wirtz et j’ai 21 ans. J’étudie à Metz pour devenir professeur d’EPS. J’ai commencé à jouer au handball à Dudelange dès l’âge de 4 ans. Mais cette saison 2017/2018, je joue à Metz en N1. Et, j’ai intégré l’équipe nationale du Luxembourg qui vient de se former. Mikel : Je m’appelle Mikel Molitor et j’ai 25 ans. Je joue au handball depuis mes 5 ans. Mon club formateur est le HBDiddeleng, mais depuis 3 saisons je joue à Bascharage. Et j’ai également intégré l’équipe nationale. A ne pas oublier, je suis éducateur diplômé dans une maison relais à Bascharage. 2. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Mikel : On se connaît grâce à Kim, la sœur de Joy, qui est depuis longtemps, une de mes meilleures copines. Avec Kim, on était souvent ensemble et Joy s’est intégrée après. En plus, comme on jouait dans le même club, on s’est toujours vu dans le gymnase René Hartmann. Joy aimait regarder jouer les garçons, dont moi. C’est pratique car tous les deux, on habite à Dudelange, ce qui facilite les rendez-vous. 3. Le handball joue-t-il un rôle dans votre histoire d’amour ? Joy : Oui bien sûr que le hand joue un rôle principal. Tous les deux on est fasciné par ce sport et on le pratique avec sérieux et avec beaucoup de passion. C’est LE point commun entre nous deux. Il ne se passe pas un jour sans que l’on fasse quelque chose en lien avec le handball. |
Je sais que Mikel rêve de pouvoir vivre cette expérience |
4. De vous deux, lequel est le plus facile à vivre ?
Joy : De toute évidence c’est moi. Mikel est souvent têtu et je lui dis souvent qu’il est arrogant et trop confiant. Par contre, il sait ce qu’il veut, il fait tout pour atteindre ses objectifs. Mikel : Joy est facile à satisfaire. Et on fait des compromis tous les deux. Joy : Tu devrais me donner un peu de ta confiance aussi, t’en as de trop ! Et j’en manque, c’est mon défaut (rires). 5. Le hand peut-il vous « séparer », l’un part jouer à l’étranger et l’autre reste au Luxembourg par exemple ? Mikel : En ce moment, c’est le cas. C’est difficile de trouver du temps pour vivre encore d’autres choses ensemble que le sport, car Joy ne revient que le vendredi soir et repart le dimanche soir pour retourner à Metz. Même si Metz n’est pas si loin, il reste peu de temps et c’est difficile de tout régler en 2 jours (pour parler de tout ce qui s’est passé pendant la semaine, etc.) en sachant qu’on a tous les deux peu de temps à cause des entraînements et matchs et il y a encore la famille et d’autres amis. Joy : Mikel trouve que Metz est un très bon choix pour moi. J’y étudie et le niveau au Luxembourg étant plus faible, et pour pouvoir progresser, il fallait que je parte à l’étranger. Je sais que Mikel rêve de pouvoir vivre cette expérience de jouer pour un club étranger. Il a eu plusieurs possibilités par le passé, mais pour diverses raisons il ne l’a pas fait. |
Il faut savoir estimer son partenaire tous les jours et faire des petites surprises chaque jour et quand on le souhaite
6. Qu’est-ce qui caractérise votre couple selon vous ?
Mikel : C’est la confiance et la connaissance de l’autre, vu que cela fait 5 ans qu’on est ensemble (23.02.2013) et 15 ans qu’on se connaît. On se connaît par cœur et il ne faut pas toujours parler pour savoir ce que l’autre veut. Par contre, vivre en couple et ne se voir que 2 jours par semaine, c’est dur et ça ne peut pas durer éternellement. Mais ce qui est sûr, c’est que l’un est là pour l’autre et réciproquement, dans n’importe quelle situation ! 7. Le sport est-il le ciment de votre couple ? Joy : Oui, le sport est important à nos yeux. C’est grâce au sport qu’on s’est vu plusieurs fois et cela a fondé notre relation. En plus, pendant notre temps libre, on fait souvent du sport ensemble (du hand mais aussi du tennis, du badminton, du basket…). Tous les deux on est sportif… Mikel : Joy est forte dans chaque sport, mais c’est quand même moi qui gagne toujours. Désolé Joy ! (rires) Joy : C’est normal, j’abandonne souvent trop vite, car je prends cela plutôt comme un temps libre pour avoir du plaisir et lui il prend chaque occasion comme une coupe du Monde. (rires) |
8. Pensez-vous que beaucoup de couple sont dans la même situation que vous ? (2 sportifs de haut niveau) ?
Joy : Actuellement, on ne connaît pas de couples dont les 2 sont sportifs de haut niveau.
9. Que souhaiteriez-vous à tous les amoureux en ce jour particulier ?
Mikel et Joy : On souhaite beaucoup de bonheure, et une super belle journée à tous les amoureux, en particulier ceux qui se sont trouvés récemment, car avec le temps cette journée passe de plus en plus inaperçue. Il faut savoir estimer son partenaire tous les jours et faire des petites surprises chaque jour et quand on le souhaite. Par contre, quand on est dans une situation où l’on ne se voit pas tous les jours, ces moments sont rares et il vaut mieux profiter des occasions comme la Saint-Valentin.
Par Hugo Bâcle
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