HEURE DE GLOIRE AVEC robin dourte
Partez à la rencontre de robin dourte. Avec lui nous abordons ses débuts, sa (première) saison avec le PSG,...
Lorsque tu es en équipe de France, rien n'est fait, tu dois te battre à chaque entraînement, chaque match pour gagner ta place.
1. Peux-tu te présenter en quelques mots?
Je m'appelle Robin, j'ai 19 ans, je joue au P.S.G. depuis 1 ans, j'ai commencé le handball à 4 ans et je suis pivot.
2. Comment as-tu découvert le handball?
Je l'ai découvert grâce à ma soeur à l'âge de 4 ans. J'ai commencé au Villerupt Handball, ma mère entraînait les petits.
3. Tu es rentré au PSG cette saison, comment c'est déroulé ton arrivé?
Je suis tombé dans un super groupe malgré un contexte difficile (blessure), j'ai loupé les 2 stages de la préparation à cause de la rééducation. Mais tous ces problèmes ne m'ont pas empêchés de vite m'intégrer. On a vécu une superbe année, avec un groupe soudé. Une belle bande de potes !
4. Vous avez été champion de Nationale 2 cette saison, les pros sont devenus champions de France, comment vit-on aux cotés de grands champions internationaux ?
C'est une superbe expérience, beaucoup de personnes aimerait être à notre place. De voir tous les jours des joueurs comme cela, c'est très motivant. Le club fait en sorte que l'on soit proche d'eux avec un système de parrainage. Pour ma part j'ai eu Luka Karabatic, ce ne peut être qu'un joueur exemplaire pour un jeune comme moi. Clairement, c'est une aventure humaine, j'ai passé une année super.
5. Un jour avec les grands ?
Quand on est dans un club comme ça, qu'on s’entraîne tout les jours, c'est forcément le but. Maintenant je sais que le chemin est long et qu'il y a beaucoup de travail. En tout cas je ferais tout mon possible pour réussir, ça serait une réel fierté pour moi et tout mon entourage.
6. Tu as aussi la chance de porter le maillot de l'équipe de France (U19), est-ce un plus pour toi ?
Oui, c'est aussi un objectif de continuer à gravir les échelons avec l'équipe de France. C'est un objectif excitant mais c'est grâce au travail et à la persévérance qu'il sera atteint. Lorsque tu es en équipe de France, rien n'est fait, tu doit te battre à chaque entraînement, chaque match pour gagner ta place.
7. Il y a une personne qui te soutient quotidiennement ?
Oui, déjà il y a ma famille qui me suis au quotidien et je pourrais jamais assez les remercier pour tous ce qu'ils ont fait pour moi. Avec ma sœur nous sommes très proches et on s'entend super bien. C'est un réel soutient, à chaque match elle m'appelle pour me motiver. Mes parents, me suivent partout. Depuis tout petit ils m'emmènent partout pour que je puisse pratiquer ma passion, maintenant j'espère que je les rends fier, sans eux se serait difficile. […] Après il y'a Toma, avec qui j'ai joué avant de venir à Paris. Je parle beaucoup de hand avec lui et à chaque fois que je rentre à la maison je vais systématiquement le voir. Je sais qu'il sera toujours là pour me soutenir et vice versa . Ah et comment ne pas oublier mon colloc', Edouard Kempf avec qui je m'entend hyper bien.
Je m'appelle Robin, j'ai 19 ans, je joue au P.S.G. depuis 1 ans, j'ai commencé le handball à 4 ans et je suis pivot.
2. Comment as-tu découvert le handball?
Je l'ai découvert grâce à ma soeur à l'âge de 4 ans. J'ai commencé au Villerupt Handball, ma mère entraînait les petits.
3. Tu es rentré au PSG cette saison, comment c'est déroulé ton arrivé?
Je suis tombé dans un super groupe malgré un contexte difficile (blessure), j'ai loupé les 2 stages de la préparation à cause de la rééducation. Mais tous ces problèmes ne m'ont pas empêchés de vite m'intégrer. On a vécu une superbe année, avec un groupe soudé. Une belle bande de potes !
4. Vous avez été champion de Nationale 2 cette saison, les pros sont devenus champions de France, comment vit-on aux cotés de grands champions internationaux ?
C'est une superbe expérience, beaucoup de personnes aimerait être à notre place. De voir tous les jours des joueurs comme cela, c'est très motivant. Le club fait en sorte que l'on soit proche d'eux avec un système de parrainage. Pour ma part j'ai eu Luka Karabatic, ce ne peut être qu'un joueur exemplaire pour un jeune comme moi. Clairement, c'est une aventure humaine, j'ai passé une année super.
5. Un jour avec les grands ?
Quand on est dans un club comme ça, qu'on s’entraîne tout les jours, c'est forcément le but. Maintenant je sais que le chemin est long et qu'il y a beaucoup de travail. En tout cas je ferais tout mon possible pour réussir, ça serait une réel fierté pour moi et tout mon entourage.
6. Tu as aussi la chance de porter le maillot de l'équipe de France (U19), est-ce un plus pour toi ?
Oui, c'est aussi un objectif de continuer à gravir les échelons avec l'équipe de France. C'est un objectif excitant mais c'est grâce au travail et à la persévérance qu'il sera atteint. Lorsque tu es en équipe de France, rien n'est fait, tu doit te battre à chaque entraînement, chaque match pour gagner ta place.
7. Il y a une personne qui te soutient quotidiennement ?
Oui, déjà il y a ma famille qui me suis au quotidien et je pourrais jamais assez les remercier pour tous ce qu'ils ont fait pour moi. Avec ma sœur nous sommes très proches et on s'entend super bien. C'est un réel soutient, à chaque match elle m'appelle pour me motiver. Mes parents, me suivent partout. Depuis tout petit ils m'emmènent partout pour que je puisse pratiquer ma passion, maintenant j'espère que je les rends fier, sans eux se serait difficile. […] Après il y'a Toma, avec qui j'ai joué avant de venir à Paris. Je parle beaucoup de hand avec lui et à chaque fois que je rentre à la maison je vais systématiquement le voir. Je sais qu'il sera toujours là pour me soutenir et vice versa . Ah et comment ne pas oublier mon colloc', Edouard Kempf avec qui je m'entend hyper bien.
La suite de l'interview est à retrouver prochainement
Par Hugo Bâcle