A la découverte de... Pierre champin
Pour commencer cette nouvelle rubrique, nous vous PROPOSONS de découvrir un jeune joueur de 19 ans, pierre champin. pensionnaire du centre de formation du cmhb28, il se confie et nous raconte son arrivée au club.
Si je dois retenir qu'une personne, c'est mon père |
1. Comment t’es venu l’idée de faire du handball ?
Mon père pratiquait ce sport à un niveau régional, il faisait ça pour s'amuser et prendre du plaisir c'est donc tout naturellement qu'il m'a inscrit pour que je puisse me défouler, et j'ai directement accroché !
2. Une personne en particulier t’a accompagné / soutenu dans tes projets ?
Si je dois ne retenir qu'une personne, c'est mon père. Quoi que je fasse il était là, me surveillait en m'encourageant, en me disant qu'il fallait que je croie en moi. J'avais une relation très forte avec lui. Je pense que sans ce dernier je ne serais jamais arrivé là où je suis. C'est la seule personne qui était là pour moi quand personne ne croyait en moi, il me manque beaucoup et je n'oublierai jamais ce qu'il m'a appris, il est toujours présent avec moi, même si la maladie a dû l'emporter…
3. Comment es-tu rentré au Centre de Chartres ?
Je suis rentré par le cursus "normal", j’étais en Terminale, au Pôle Espoir de Lyon, je suis allé faire des tests à Nîmes, qui se sont avérés concluants, mais quelques jours plus tard, Nîmes s'est désisté et le CMHB28 m'a donné la chance de pouvoir évoluer en son sein.
4. Comment s’est déroulée ton arrivée au CMHB28 ?
Une très bonne adaptation, concernant les partenaires, ce sont des mecs supers, avec qui l'intégration ne peut que bien se passer, car ce sont des gars simples qui aiment beaucoup la rigolade, ce qui me plaît forcément.
5. Quelles ont été les attente du club lors de ton arrivé ici?
Les attentes du club lors de mon arrivée ont été de conserver mon jeu actuel, mais de défendre plus fort, Jérome Delarue lors de ma première année m'a clairement fait comprendre que si je ne voulais pas défendre je n'allais pas attaquer donc je me suis bougé le derrière comme on dit. (rires)
8. Quelle personne, pour toi, est la plus importante au club ?
Soline Legrand et son mari Thierry. Ce sont des personnes très importantes pour moi au sein du club, j'ai une étroite amitié avec Lucas (leur fils) et je vais régulièrement dîner chez eux avec Gaël, ce sont des personnes supers, qui, lors de mon arrivée m'ont tout de suite mis à l'aise et rassuré, j'ai retrouvé ce côté "maternel".
9. Avec Gaël Tribillon tu as une relation "particulière", tu peux nous en parler ?
Une relation plus que forte, c'est le frère que je n'ai jamais eu, un mec super agréable à vivre, très attachant par sa personnalité, et très marrant ! Comme on se le dit " c'est la famille ici !"
10. Un entraîneur marquant avant de venir ici ?
Jean-François Villeminot, actuel entraîneur de Villeurbanne (N2), qui a été mon coach en moins de 16 ans et moins de18 ans, un super coach qui sait comment me parler et m’aborder. J'ai énormément progressé mentalement et tactiquement grâce à lui, pour moi c'est un excellent coach. Je suis aussi super pote avec son fils Kyllian (international U19, ndlr).
11. As-tu des regrets ?
Des regrets ? De ne pas avoir assez dit je t'aime à ceux que j'aime, et d’avoir trop respecté certains coachs qui m'ont méprisé (rires).
Mon père pratiquait ce sport à un niveau régional, il faisait ça pour s'amuser et prendre du plaisir c'est donc tout naturellement qu'il m'a inscrit pour que je puisse me défouler, et j'ai directement accroché !
2. Une personne en particulier t’a accompagné / soutenu dans tes projets ?
Si je dois ne retenir qu'une personne, c'est mon père. Quoi que je fasse il était là, me surveillait en m'encourageant, en me disant qu'il fallait que je croie en moi. J'avais une relation très forte avec lui. Je pense que sans ce dernier je ne serais jamais arrivé là où je suis. C'est la seule personne qui était là pour moi quand personne ne croyait en moi, il me manque beaucoup et je n'oublierai jamais ce qu'il m'a appris, il est toujours présent avec moi, même si la maladie a dû l'emporter…
3. Comment es-tu rentré au Centre de Chartres ?
Je suis rentré par le cursus "normal", j’étais en Terminale, au Pôle Espoir de Lyon, je suis allé faire des tests à Nîmes, qui se sont avérés concluants, mais quelques jours plus tard, Nîmes s'est désisté et le CMHB28 m'a donné la chance de pouvoir évoluer en son sein.
4. Comment s’est déroulée ton arrivée au CMHB28 ?
Une très bonne adaptation, concernant les partenaires, ce sont des mecs supers, avec qui l'intégration ne peut que bien se passer, car ce sont des gars simples qui aiment beaucoup la rigolade, ce qui me plaît forcément.
5. Quelles ont été les attente du club lors de ton arrivé ici?
Les attentes du club lors de mon arrivée ont été de conserver mon jeu actuel, mais de défendre plus fort, Jérome Delarue lors de ma première année m'a clairement fait comprendre que si je ne voulais pas défendre je n'allais pas attaquer donc je me suis bougé le derrière comme on dit. (rires)
8. Quelle personne, pour toi, est la plus importante au club ?
Soline Legrand et son mari Thierry. Ce sont des personnes très importantes pour moi au sein du club, j'ai une étroite amitié avec Lucas (leur fils) et je vais régulièrement dîner chez eux avec Gaël, ce sont des personnes supers, qui, lors de mon arrivée m'ont tout de suite mis à l'aise et rassuré, j'ai retrouvé ce côté "maternel".
9. Avec Gaël Tribillon tu as une relation "particulière", tu peux nous en parler ?
Une relation plus que forte, c'est le frère que je n'ai jamais eu, un mec super agréable à vivre, très attachant par sa personnalité, et très marrant ! Comme on se le dit " c'est la famille ici !"
10. Un entraîneur marquant avant de venir ici ?
Jean-François Villeminot, actuel entraîneur de Villeurbanne (N2), qui a été mon coach en moins de 16 ans et moins de18 ans, un super coach qui sait comment me parler et m’aborder. J'ai énormément progressé mentalement et tactiquement grâce à lui, pour moi c'est un excellent coach. Je suis aussi super pote avec son fils Kyllian (international U19, ndlr).
11. As-tu des regrets ?
Des regrets ? De ne pas avoir assez dit je t'aime à ceux que j'aime, et d’avoir trop respecté certains coachs qui m'ont méprisé (rires).
À Marc
Par Hugo Bâcle